Crise existentielle : perspectives historiques, sociologiques et cliniques
Ce texte analyse le concept de la crise existentielle à travers des perspectives historiques, sociologiques, philosophiques et cliniques, en s'appuyant sur un corpus de textes variés. Il met en lumière comment la perte d'un univers cosmologique stable et la transition d'une société de discipline à une société d'autonomie ont engendré une angoisse existentielle fondamentale en Occident. Cette angoisse se manifeste aujourd'hui non plus tant par la névrose et la culpabilité que par la dépression, le sentiment d'insuffisance, l'inhibition et un "vide existentiel".
Les manifestations cliniques de cette crise sont multiples et peuvent être liées par exemple à : des traumatismes psychiques qui désorganisent le parcours de vie, trop-plein pulsionnel chez des adolescents en dérive, un défaut de symbolisation primaire lié à des traumatismes précoces, ou encore à une crise d'identité au milieu de la vie marquée par une quête d'authenticité.
Face à ces problématiques, diverses approches thérapeutiques sont explorées. Les psychothérapies existentielles se concentrent sur la clarification du sens, de la liberté et de la responsabilité, en utilisant des techniques comme l'analyse des valeurs, le travail sur les émotions et les récits de vie. L’approche psychodynamique vise à retisser les liens entre les pulsions de vie et de mort, à réparer les traumatismes primaires par la construction d'un espace psychique, et à guider le patient vers l'acceptation de ses identités pour intégrer son histoire personnelle. Enfin, le document conclut sur l'urgence contemporaine posée par l'anthropocène, qui remet radicalement en question la posture de maîtrise de l'homme sur la nature, issue de la science moderne, et appelle à réévaluer la place de l'être humain dans le monde.
1. Les fondements historiques et sociologiques de la crise existentielle moderne
1.1. Du cosmos clos à l'univers infini : la naissance d'une angoisse
Le rationalisme occidental moderne est né d'une crise existentielle profonde, déclenchée par la transition d'une vision du monde stable et hiérarchisée à celle d'un univers infini et sans centre. Jusqu'au Moyen Âge, la sécurité existentielle de l'homme reposait sur deux piliers : la cosmologie grecque d'un cosmos clos, avec la Terre au centre, et une métaphysique des idées fixes. Cette structure offrait une enveloppe protectrice contre le chaos, définissant une place claire pour chaque être.
À partir de la Renaissance, deux bouleversements majeurs ont ébranlé cet édifice :
La révolution cosmologique : Les travaux de Copernic, Digges, Bruno, Galilée et Descartes ont détruit le cosmos clos, le remplaçant par un univers infini. Cette "infinitisation" a fait perdre à l'homme sa place centrale, brouillant les frontières entre l'ordre (cosmos) et le désordre (chaos). L'angoisse face à cette perte de repères est exprimée par Pascal : « Le silence éternel de ces espaces infinis m’effraye ».
La découverte géographique : La découverte de l'Amérique a confirmé concrètement l'extension du monde, remettant en cause la centralité de l'Occident et menaçant l'homme d'être "submergé par le chaos".
Cette période de transition, loin d'être un passage pacifié des "ténèbres à la lumière", fut marquée par une violence extrême (guerres de religion, fumée des canons), contredisant la thèse wébérienne d'une mutation apaisée des valeurs. Cette angoisse existentielle a engendré une poussée irrationnelle massive en Europe aux XVIe et XVIIe siècles, avec une croyance généralisée aux démons, sorciers et à la magie, comme en témoignent les écrits de Bodin et les bulles papales condamnant de nombreuses pratiques occultes.
1.2. La science moderne comme réponse à la crise
L'hypothèse centrale présentée est que la science moderne a constitué une réponse à cette crise existentielle. Face à la perte de sa place dans le cosmos, l'homme occidental a redéfini sa position en devenant le "centre mouvant de l'univers infini". Pour ce faire, il a forgé une nouvelle méthode pour appréhender le réel :
Le sujet connaissant comme nouveau centre : Le cogito cartésien établit un face-à-face entre le sujet pensant et les objets à connaître. L'homme devient un "être-esprit spectateur du monde", isolé par une "clôture invisible" qui le protège du chaos.
La mécanisation du monde : L'univers, la nature, et même les corps vivants (la théorie de l'animal-machine de Descartes) sont conçus comme des machines régies par des lois mathématiques. Cette mécanisation permet de reconstruire un monde prévisible et ordonné sur les ruines du cosmos ancien.
La domination de la nature : Cette nouvelle science, loin d'être purement théorique, vise, selon les mots de Bacon, à "plier en quelque manière la nature pour approprier ses opérations à l’avantage et à l’utilité du genre humain". Elle ouvre la voie à une emprise technique sur le monde, fondée sur une posture d'extériorité qui confère à l'homme une puissance inédite, le situant non plus dans le monde, mais au-delà, à la place de Dieu.
Cette posture a permis une quiétude existentielle, mais au prix d'une séparation radicale entre l'esprit et la matière, rendant le monde étranger et muet.
1.3. De la culpabilité à l'insuffisance : la dépression comme maladie de l'autonomie
La nature de la souffrance psychique a évolué avec les normes sociales. La société décrite par Freud était régie par la discipline, l'obéissance et l'interdit. La pathologie dominante était la névrose, un trouble de la culpabilité né d'un conflit entre le permis et l'interdit. La question centrale pour l'individu était : « Que m’est-il permis de faire ? »
Depuis les années 1970, un changement normatif majeur a eu lieu :
L'avènement de l'autonomie : La société est passée d'une logique de discipline à une logique d'autonomie, d'initiative individuelle et de réalisation de soi. L'interdit a été englobé dans le choix, et l'obéissance dans l'initiative.
L'émergence de la dépression : La dépression est devenue la pathologie emblématique de cette nouvelle ère. Elle est une "maladie de la responsabilité" où le sentiment d'insuffisance domine celui de la culpabilité. La question centrale est devenue : « Suis-je capable de le faire ? ».
L'inhibition comme symptôme cardinal : La dépression est perçue moins comme une passion triste que comme une action insuffisante. L'inhibition est particulièrement handicapante dans une société qui exige une action et une motivation permanentes.
Ainsi, la dépression est la contrepartie de la souveraineté nouvelle de l'individu, enjoint d'être le sujet de lui-même et de se choisir en permanence.
2. Manifestations cliniques de la crise : traumatisme, vide et pulsions
2.1. Le traumatisme comme crise psychique et crise de vie
La notion de crise psychique est centrale pour comprendre les troubles psychotraumatiques. Issue du terme grec krisis, elle désigne un moment de changement décisif, de transition entre deux périodes d'évolution, pour le meilleur ou pour le pire. La crise traumatique est une situation de désorganisation et de réorganisation qui dépasse le simple descriptif pathologique.
La clinique du psychotraumatisme intègre plusieurs dimensions :
Dimension existentielle (Minkowski) : Le traumatisme est vécu comme une rupture dans les projets de vie, un échec qui bouleverse le sens donné à l'existence. Il génère des impasses et des immobilisations sur un plan existentiel (professionnel, social, familial).
Dimension phénoménologique (Heidegger, Binswanger) : L'accent est mis sur l'expérience vécue du sujet (Dasein). L'approche "sans a priori" permet de mieux comprendre la problématique psychotraumatique centrée sur le passé, plutôt que de chercher des causalités rapides.
Dimension conflictuelle (Anzieu) : Le traumatisme fige le drame personnel et met en évidence la notion de conflit dans le rapport à soi et aux autres.
Dimension historique : Le vécu traumatique s'inscrit dans une étape de vie critique, et la capacité à l'intégrer dans une chronologie personnelle est essentielle.
L'absence de résolution d'une crise traumatique peut mener à une redondance avec une autre crise de vie sous-jacente (crise d'adolescence, conjugale, etc.), bloquant la réorganisation et la restauration psychique du sujet.
2.2. Le vide existentiel et le trop-plein pulsionnel chez l'adolescent
Chez certains adolescents marginalisés, un vide existentiel profond se manifeste par un trop-plein pulsionnel. Ces jeunes, démunis affectivement et socialement, errent "comme des maillons désaffiliés", soumis à des pulsions erratiques qui se déchargent en violences, délits ou addictions.
Origines du vide : Ce vide est le symptôme d'un "échec sociétal". Il plonge ses racines dans une déliaison sociale (démantèlement des institutions, credo néolibéral de la compétition) et familiale (effacement de la fonction paternelle). Les traumatismes non symbolisés (ruptures, abandons) créent un "trou psychique".
Réponses au vide : L'injonction consumériste à "se remplir" sature ce vide avec des "prêts-à-penser" et des "prêts-à-jouir" (produits toxiques, réseaux sociaux). La violence devient une "protestation vitale" pour éviter l'effondrement dépressif.
La quête du père : L'effacement de la fonction paternelle (le "Nom-du-Père" comme limite à la jouissance) laisse l'adolescent sans pacte symbolique. La radicalisation (ex: djihadiste) peut être une tentative de suppléance, un appel à un père transcendant, tyrannique et hors-la-loi, pour canaliser les pulsions et donner un sens mortifère à l'existence.
2.3. Le vide comme défaut de symbolisation primaire
La problématique clinique du vide peut également être comprise comme un trouble de la symbolisation primaire. Il ne s'agit pas d'un simple sentiment de vide, mais d'un vide dans le fonctionnement psychique lui-même, où les éprouvés affectifs ne peuvent être représentés.
Processus de désaffectivation : Pour éviter une turbulence émotionnelle vécue comme dévastatrice, le psychisme met en place des processus précoces de désaffectivation, effaçant les affects et laissant une "page blanche". Un événement potentiellement traumatique devient un "événement blanc", coupé de ses connexions pulsionnelles.
Traumatisme existentiel précoce : L'hypothèse de la Tact-Pulsion, une pulsion originaire de recherche de contact opérant dès la vie prénatale, suggère que le premier traumatisme peut être une "violation de l'attente" à la naissance. Lorsque l'attente de contact du bébé est massivement déçue (ex: mère dépressive, indisponible), c'est l'activité psychique d'anticipation elle-même qui est rendue inutile.
Conséquences : Cela entraîne une coupure de soi-même, une vie "en étant là sans y être". Le développement se poursuit sur un mode conformiste, où les cadres externes remplacent un cadre interne défaillant, laissant un vide fondamental au cœur de l'être.
2.4. La crise du milieu de la vie : quête d'authenticité
La crise du milieu de la vie est une crise existentielle liée au sentiment d'identité. Elle survient lorsque l'individu prend conscience de la finitude de son existence et se demande : « Ce que je vis, est-ce vraiment ma vie ? ».
La souffrance de l'inauthenticité : Ces patients ont souvent vécu en essayant de se conformer à un idéal, en imitant les autres ou en s'effaçant. Ils sont "aveugles à ce qu'ils pensent, ressentent et éprouvent eux-mêmes", fascinés par la richesse psychique d'autrui au détriment de la leur.
La "Porte Étroite" : La résolution de la crise passe par la découverte qu'il suffit d'être "simplement soi-même". L'individu doit accepter de passer par une "porte étroite", celle qui a la forme unique de sa propre personne, pour accéder à l'universel. C'est en acceptant son histoire, ses qualités et ses défauts, que le patient trouve sa valeur et le sentiment d'avoir une vie qui est la sienne.
L'intégration du temps : Cette crise révèle souvent une perception morcelée du temps, où des épisodes de vie ont été clivés ou mis de côté. La thérapie aide à réintégrer ces parties oubliées pour construire une histoire interne totale et vivante, où le passé, le présent et le futur s'éclairent mutuellement.
3. Approches thérapeutiques de la crise existentielle
3.1. Principes des psychothérapies existentielles
Les psychothérapies existentielles constituent un ensemble de pratiques visant à aider les individus à affronter les enjeux fondamentaux de l'existence. Elles sont plus philosophiques que médicales et partagent des points clés : ouverture au monde, quête d'authenticité, développement du pouvoir d'agir, confrontation à la dimension tragique de l'existence et recherche de sens.oche
Daseinanalyse :
Medard Boss, Martin Heidegger
Approche phénoménologique centrée sur l'analyse de l'existence (Dasein). Vise à appréhender les phénomènes de conscience pour accéder à l'être. Utilise l'imagination et les rêves pour travailler l'ouverture au monde.
Thérapie Existentielle :
Emmy Van Deurzen
Approche clinique qui analyse le rapport à la vie sur quatre dimensions (physique, social, personnel, spirituel). Utilise de nombreuses techniques pour aider à affronter et dépasser les angoisses existentielles.
Thérapie par le Sens :
Paul T. P. Wong
À l'articulation de la psychologie positive et existentielle. Propose le modèle "PURE" (Purpose, Understanding, Responsible Action, Evaluation) et une stratégie d'intervention "ABCDE" (Acceptation, Croyance, Action, Découverte, Évaluation) pour aider à construire du sens.
Psychothérapie Existentielle :
Irvin D. Yalom
S'attache aux quatre "préoccupations intimes" : la mort, la liberté/responsabilité, l'isolement existentiel et le sens de la vie. Une prise de conscience de ces conditions, bien qu’angoissante, est nécessaire pour vivre une vie authentique.
Logothérapie :
Viktor Frankl
Fondée sur l'idée que la "volonté de sens" est la motivation première de l'homme. L'absence de sens provoque une "névrose noogène" (vacuité existentielle). Propose des techniques comme la "déréflexion" pour se détourner de soi et trouver du sens dans des œuvres, des expériences ou la souffrance.
3.2. Techniques et thématiques d'intervention
Les psychothérapies existentielles emploient un ensemble de techniques visant à développer l'autonomie et à accompagner un changement durable.
Travailler avec les cognitions et les "balises existentielles" :
Analyse des valeurs : Exploration du système de valeurs personnelles (ex: modèle de Schwartz) pour identifier les priorités et les dissonances existentielles entre les valeurs et le vécu.
Identification des ressources psychologiques : Mobilisation des forces du patient (empruntées à la psychologie positive) pour favoriser le changement.
Exploration des balises existentielles : Identification des piliers de l'existence (personnes, lieux, activités, etc.) actuels et futurs pour construire l'identité.
Apprivoiser l'angoisse existentielle et les émotions :
La psychothérapie aide à nommer, repérer et expliciter les émotions activées par les grands enjeux existentiels (mort, solitude, renoncement).
La prise de conscience émotionnelle transforme l'émotion d'une contrainte subie à un élément d'éclairage du fonctionnement personnel.
Développer le sens de la vie :
Récits de vie : Utilisation de la narration autobiographique pour comprendre son parcours, tisser des liens entre les événements et identifier les thèmes de vie qui donnent de la lisibilité à l'existence.
Actions concrètes : Identification d'événements significatifs, de buts de vie à réaliser, et réflexion sur la manière dont les domaines de vie (travail, école) peuvent avoir plus de sens.
Gérer les dilemmes et les regrets existentiels :
Dilemmes : Plutôt que de les résoudre à tout prix, la thérapie aide à analyser les enjeux du dilemme, les émotions associées et à utiliser le système de valeurs du patient comme outil de discernement.
Regrets : L'approche se concentre sur les regrets anticipés (les regrets qu'on pourrait éprouver si l'on faisait tel ou tel choix), ce qui aide à conscientiser les conséquences des décisions et à assumer ses responsabilités.
3.3. Perspective psychodynamique
L’approche psychodynamique offre des cadres complémentaires pour aborder la crise existentielle, en se concentrant sur les dynamiques inconscientes, le transfert et la reconstruction de l'histoire subjective.
Le traumatisme et l'adolescence figée (cas Ghislaine) : Une jeune femme de 20 ans, suite à un grave accident, présente une personnalité schizoïde et une "adolescence figée". Le travail thérapeutique se concentre sur la problématique de la séparation et de l'abandon (rappelée par la rupture avec son petit ami avant l'accident) et permet de dénouer la crise d'adolescence que l'accident avait cristallisée, ouvrant la voie à une autonomie.
La sublimation des pulsions (clinique de l'adolescence) : Face à des jeunes pris dans la pulsion de mort, le travail clinique vise à s'appuyer sur leur "fureur de vivre" pour en faire le socle d'une sublimation. Il s'agit de retisser pulsions de vie et de mort pour que le désœuvrement puisse "faire œuvre", en donnant forme et sens à la violence inarticulée.
La construction d'un espace psychique (clinique du vide) : Avec des patients présentant un "vide existentiel", la thérapie vise à construire un espace de créativité là où il est absent. Le jeu de "cache-cache d'imagination" (proposé au patient Ovide) permet de différencier le "réel" de l'"imaginaire" et d'ouvrir un espace psychique où des images mentales, même terrifiantes, peuvent commencer à peupler le vide.
L'acceptation de soi (crise du milieu de la vie) : Le travail analytique aide le patient à accepter de passer par sa propre "porte étroite", c'est-à-dire à renoncer à un idéal fantasmé pour accepter son histoire et sa personne uniques. L'analyste, par son regard étonné et non banalisant, aide le patient à voir la valeur de ses propres trésors internes.
4. La crise contemporaine : l'ère de l'anthropocène
La crise existentielle de la modernité trouve une résonance et une amplification critiques à l'ère de l'anthropocène. Ce concept, proposé par des scientifiques comme Paul Crutzen, désigne une nouvelle époque géologique où les activités humaines sont devenues la principale force de transformation de la Terre.
Une rupture historique : La bombe nucléaire a marqué un tournant décisif, démontrant que l'homme ne peut plus agir sur le monde sans mettre en jeu sa propre existence. Le couplage étroit entre la science et la destruction est devenu permanent.
Une nouvelle condition humaine : L'humanité est confrontée à des dérèglements écologiques (climat, biodiversité) d'une ampleur inédite. L'agir humain, qui prétendait dominer la nature, télescope désormais la dynamique de la Terre.
La fin de la posture d'extériorité : La conception de l'homme comme "spectateur" extranaturel, à l'abri des contrecoups de son action sur le monde matériel, est devenue inadéquate. La surpuissance acquise menace de l'anéantir.
Cette situation impose une réinterrogation radicale des fondements métaphysiques de la science moderne et de la position de surplomb du sujet. Elle appelle à réenvisager des rapports d'implication entre l'homme et le monde, à travers des savoirs ancrés et multiples, pour requalifier les problèmes en tenant compte de leurs dimensions à la fois matérielles et existentielles.
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